Un nouvel apport de 200.000€ voté à Verviers

Pour éviter le marasme total du club, la Ville de Verviers va souscrire
des parts du capital de l’intercommunale Aqualis


Je trouve cela indécent, car l’argent vient des taxes que les citoyens payent et ils n’arrêtent pas de les augmentés sous quelques prétextes, alors que nous somment en temps de crise et qu’il y a bien des choses a faire avec une telle somme pour aider les gens, au lieu de les dépenser pour un sport que quelques élites politiques soutiennent.

Clic sur image pour voir la vidéo de Télévesdre.



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On va mettre aux normes la piscine d'Ensival, qui pourra réouvrir ses portes, on ne fait rien à Mangombroux, et la piscine couverte communale est dans un triste état.

Ces infrastructures on un rôle social important, outre l'aspect sportif, surtout pour les deux piscines en plein air. On peine cependant à trouver de l'argent pour maintenir ces centres à vocation, come je l'écris sportive ET sociale.

Par contre, pour le club de basket en question, fréquenté par des hommes politiques ou des gens gravitant autour, on modifie les statuts d'une intercommunale pour pouvoir alimenter, en argent frais, un club qui du point de vue sportif, dirons-nous "vaut ce qu'il vaut" et du point de vue gestion, est une catastrophe.

C'est un peu comme pour la finance mondiale, gérée par des amateurs, des joueurs, des requins, dont les règles, ou plutôt l'absence de règles, a eu pour conséquence une crise économique et sociale à l'échelle mondiale. Qui paie? Nous, le contribuable ! Bien sûr.Mais on renfloue les banques avec notre argent pour notre bien, pour sauver l'économie. Bon, soit, ça se discute, il n'y a pas que du négatif sous cette perspective. On a déjà débattu pas mal sur ce sujet.

Par contre, pour le basket...

On va vous dire que le club de Basket est une image, une vitrine pour la région, et que sa disparition engendrerait une perte de visibilité de notre région, donc un manque à gagner, donc un impact économique négatif.

Cette injection de 200 000€ est faite pour notre bien, pour le bien de notre région.
Dormez sur vos deux oreilles citoyens!!!

Chaque année à la même époque, on va nous ressortir le même chapelet ... obtention de la licence, réinjection de fonds, "vitrine" régionale, ... et combien va donner la commune de Pepinster pour le sauvetage du club de basket? Rien puisque le PS (Dedye) n'est plus là pour allonger et que la majorité pépine a coupé le robinet financier au club de basket. Franchement, qu'on arrête les frais ...

Et puis moi, tout ces grands noirs avec des shorts jusqu'aux genoux, ça me fout des complexes!
Je suis pour qu'on soutienne le club à condition qu'ils mettent des shorts à la Jean-Michel Saive.

Il est peut-être en short, mais cela vaut la peine et on a 26 raisons de l’aimer.

26 reasons to Love.





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Si ce n'est qu'un problème de short, PhG, ça doit pouvoir s'arranger ...

Non Fed, ce n'est pas qu'un problème de short.
Je trouve que le terrain est trop grand, je verrais mieux un petit carré avec des cordes,
Je trouve qu'un parquet, ça fait luxe, c'est trop cher, je verrais mieux une bâche avec de la boue,
Et je trouve qu'une dizaine de mecs, ça fait beaucoup trop, je verrais mieux deux filles,
Je trouve finalement que ce serait vraiment dommage de salir des shorts...

En plus ... la boue, ça rend la peau douce!

Bon, blague à part, à La Louvière, on a compris qu'injecter du pognon dans un club de sport était à fond perdu et que la cause d'un club mal en point financièrement était désespérée.

Cela signifie la perte d'un matricule, la perte d'un classement, mais surtout la remise des compteurs à zéro au niveau des finances, ce qui n'empêche d'ailleurs pas la réussite sportive du club à moyen terme. Pour preuve, Malines est revenu petit à petit dans le coup en football, avec un public absolument incroyable, une équipe sans vedette, mais une équipe de guerriers avec une mentalité terrible. Des leçons doivent être tirées ...

Et dans le même temps ... le bourgmestre annonce un plan pour sauver le club de foot ... Sauve qui peut, oui!

Quelques éclaircissements par rapport à la situation financière du club de foot donnés par le MR sur le site de Catherine Lejeune.

http://www.catherinelejeune.be/blog/454-position-du-mr-par-rapport-au-plan-de-sauvetage-du-rcsv/

Compte tenu de la situation, la position adoptée me semble être la meilleure qu'il soit, mais on est en droit de se demander comment la précédente majorité a été aussi biesse que pour garantir les emprunts d'un club de foot dont la rentabilité et la viabilité sont remises fréquemment en cause.

Comme je l'avais expliqué ici longuement, des tas de petits clubs s'en sortent et produisent des talents sportifs avec des moyens nettements plus réduits, pour ne pas dire ridicules par rapport au RCSV. C'est eux qui sont les plus méritants. et c'est sur eux que doit se focaliser l'attention et le maximum de financement. Je suis heureux de voir que le MR insiste sur ce point.

Par contre, je ne suis pas d'accord pour le sauvetage du club de basket par rapport au discours qui est tenu. Contrairement à ce qu'écrit le MR dans son communiqué, ce n'est pas parce qu'un club régional joue en division 1 nationale que l'on se doit de pallier à tous ses déficits sous prétexte des retombées économiques qu'il génère et que l'on a toujours pas mesurées. Pierre-Yves Jeholet a dressé le constat que la gestion du club de basket n'était pas professionnelle, mais dans les faits, rien a changé. La ville a encore une fois dû y aller de sa poche.

Ce qui est encore plus dingue, c'est que d'énormes économies auraient pu et pourraient être effectuées sans préjudice sportif puisque je crois qu'il n'y a pas de descendant en Division 1 en basket (cette saison du moins). Ce qui signifie que c'était l'occasion unique de démarrer avec des jeunes du cru qui ne coûtent pas très chers et qui sont surmotivés afin de les aguerrir en vue des saisons futures, tout en épongeant au fur et à mesure les dettes du club.

A la place de cela, on transfère des américains, des serbes, des slovènes qui coûtent bonbon (sans parler du retour de Muya) en promettant monts et merveilles et au bout du compte, l'équipe est quand même bonne dernière.

Désolé Catherine, mais sur le coup, de 2 maux, le MR n'a pas choisi le moindre et le refinancement du club de basket sous cet angle apparaît comme risqué et inopérant.

Je partage votre analyse

Le sport de bon niveau national coûte cher, trop cher !
En foot, les exemples de La Louvière, Mouscron, Mons,... nous prouvent que les besoins pour "survivre" honorablement sans culbuter vers la ou les divisions inférieures sont à la surenchère !
En basket, Pepinster est un exemple criant de club qui a vécu au-dessus de son niveau pour pouvoir suivre le train fou du succès, du maintien en D1.

Le bon sens voudrait qu'on se demande s'il ne vaut pas mieux descendre d'un ou deux échelons en faisant jouer des petits gars qui ont fait leurs classes dans nos clubs ?

Ces dépenses pour sauver nos deux clubs "phares" pourraient bientôt, si elles sont actées, être caractérisées d'indécentes. N'oublions pas que notre ville, largement endettée, a dû contracter un emprunt de 10 000 000 d'euros pour se sortir du marasme financier dans lequel elle était plongée. Indécent en ces temps de forte récession économique dont nous ressentons tous les effets dans notre quotidien et dont nous ignorons encore l'ampleur à plus long terme chacun connaissant probablement des personnes de son entourage qui ont perdu leur emploi. Chacun de nous faisanit nettement plus attention à ses dépenses.



A l'heure des décisions, quel idéal suivre, quel projet mettre en avant sur le plan régional et sportif ?
Faut-il soutenir, pour combien de temps encore et à quel prix nos vitrines régionales ou retomber les pieds sur terre ?


Simplement, je dirai :
Place aux clubs dont les initiatives encouragent les jeunes et les mettent en valeur.
Places aux clubs qui ont pour mission de viser l'intégration, la socialisation par le sport.
Place à nos clubs "phares" qui à un niveau peut-être moins élevés permettent à nos gamins, les plus doués; de former l'ossature d'un noyau d'équipe première à caractère régional.
Place à la diversité des sports et aux aides qu'on peut apporter à ceux qui sont dynamiques et inventifs.
Enfin place aussi à la culture.


Il est temps de vivre avec ses moyens, sans utopies sportives tout en faisant place à nos jeunes sportifs talentueux ou simplement heureux de faire du sport pour le plaisir..

Notre pays se caractérise sur le plan sportif par une politique drastique au niveau du contrôle des coûts. Chaque année, de nombreux clubs des élites rament pour obtenir leur licence et je pense que c'est une très bonne chose que ce type de contrôle s'opère.

Vu que contrairement à d'autres pays, nos clubs vivent avec des moyens limités et ne peuvent pas rivaliser financièrement avec les clubs de l'élite européenne, il n'y a pas 36 solutions. Tout doit être investi en formation afin de produire de nouveaux talents que l'on pourra revendre à des prix nettement plus élevés.

Je ne suis pas un grand fan du Standard, mais depuis quelques années, ils parviennent à sortir chaque saison quelques jeunes de leur école qu'ils revendent à des prix inégalés pour le championnat de Belgique. Hormis l'apport d'argent par de joyeux mécènes qui n'ont qu'un temps de toute façon, c'est, à l'heure actuelle, la meilleure solution pour être à la fois rentable et compétitif. Un pays comme la France l'a très bien compris et ses joueurs-phares se retrouvent dans les plus grandes équipes européennes.

Après un article paru dans le Jour, on sait ce qu'aura la ville en retour de ses investissements de 200000 euros dans le RBC Verviers-Pepinster!

Selon le communiqué de presse: « Promotion de la Ville sur différents supports et opérations de marketing pour un total estimé à 55 356 € par an/saison (annonce dans les quotidiens, dans les toutes-boîtes, sur barrières Nadar, sur les bus, sur les écrans en bord de terrain, sur les écrans de télévision intérieurs, sur les panneaux à l'entrée du hall du Paire, sur panneaux rotatifs, sur les équipements des joueurs. La Ville jouira également d'opérations de marketing (sur des repas d'affaires, sur des places dans le public, sur des places VIP) ».

Pour 55356 €/an, on va faire la pub de la ville de Verviers auprès des supporters de Verviers (bravo!) dans la presse locale lue par les Verviétois (bravo!), sur les bus pris par les verviétois (bravo!), ... Quand une ville doit faire sa publicité auprès de sa propre population, c'est vraiment qu'elle est mal ou qu'elle n'a rien compris au but poursuivi par la publicité!

Pour la dernière partie, il faut une traduction. Langage politique: "La Ville jouira également d'opérations de marketing (sur des repas d'affaires, sur des places dans le public, sur des places VIP)" . Langage apolitique: "La Ville et quelques potes invités pourront aller voir des matches, se faire péter la panse et se bourrer la gueule aux frais des finances publiques". Oui mais attention, ils ont la recette de la buvette pour eux! Je suis plié en 4! Va falloir en vendre des pintes et des boulettes ketchup-moutarde pour rentabiliser tout ça!

200000 euros investis pour de la pub mal ciblée et à coup sûr inefficace dans un club de sport agonisant sans avoir aucun autre retour que de la bouffe, des bières et des places gratuites, ca ressemble plutôt au chant du cygne de ce club, autrement dit, une dernière occasion de bien faire la fête entre copains avant les grands adieux. Autant faire un grand barbec' place Verte dont on allumerait le feu avec les 200000 euros, au moins on vendrait quelques pains-saucisses.

200000 euros pour la sauvegarde du peuple.
Liberté, égalité et pains saucisses.
Bon, alors, on vote pour qui finalement? Celle qui nous fera le mieux la Lambada à Fiestacity?

Dérives, dettes du passé, déficit budgétaire, remettre à flot, ... Une fameuse équation !

Sur ce forum, à la lecture de quelques messages concernant le triangle : RCSV, Basket Verviers-Pepinster et finances de la ville, on peut lire ces citations.

Finances communales :
29/8/07 : Le Bourgmestre Desama reproche vertement à Jean-François Istasse (Echevin des finances et de la culture de la ville de Verviers) d'avoir déclaré dans le journal "La Meuse" que la ville était dans le rouge pour environ 10 millions d'euros.


8/10/07 : Jean-François Istasse confirmait sur son site : "Le déficit budgétaire pour l'année 2006 se monte officiellement et définitivement à Verviers à 2.462.482,33 Euros. Il y a du travail."


Basket Verviers-Pepinster
30/06/07 : "Une dette du passé", estimée à 700 000 euros. La dette arrêtée, en date du 30 juin 2007, s'élève à un total de 944 807euros.
Pour rappel, la ville de Verviers allouait à l'asbl Probasket (Verviers-pepinster) pour l'année 2007 (voir budget communal) un subside de
99 000 euros/an.
La part de la ville pour résorber la dette à savoir 75 000 euros à rembourser annuellement durant 5 ans serait retirée hors de cette enveloppe. L'opération nous est présentée comme blanche.


RCSV
26/5/09 : "Remettre le club à flot mais en le contrôlant, pour qu'il n'y ait plus de dérives » dit C. Desama, bourgmestre de Verviers concernant le sauvetage du RCSV lors du conseil communal.

Puisqu'il y a eu des dérives avérées au club de foot (dixit le Bourgmestre), les 10 questions de Michel Halleux concernant la gestion et les finances
du RCSV étaient les bienvenues pour nous citoyens.

- Attendez que nous soyons nous-mêmes en possession des chiffres pour qu'on vous informe, dit Claude Desama.

- La dette du club est de 800 000 €, répond Dany Smeets sur base d'une note communiquée le jour-même par la Régie communale autonome

- Il s'agit là de la dette globale du club. Ce n'est pas la même chose que la dette exigible que nous nous engageons à couvrir, reprend C. Desama.

Mais comment la Ville de Verviers, aux finances déjà dans le rouge, pourra-telle financer l'opération se demande Michel Halleux ?

Cette question, nous nous la posons tous depuis de très nombreux mois tant pour le foot que pour le basket...

J'adore la défense de Desama ... C'est la dette globale et non la dette exigible ... Ah, mais ça change tout alors Claude! Vous êtes tout pardonné ...

Simple question ... Qui couvrira la dette globale une fois que celle-ci deviendra exigible? J'indique la réponse ou bien tout le monde a compris?

D'après la Meuse de mercredi, il y a 1,1 millions d'euros de dettes avérées pour le club de foot de Verviers.
Club de troisième division qui joue le fond de classement.

Mais où va-t-on à Verviers ?
Il est temps que le conseil échevinal de ce vendredi retombe avec les pieds sur terre.
Durant combien d'année d'austérité à venir les citoyens verviétois vont-ils devoir payer les incohérences de nos gestionnaires ?

Vous avez probablement lu que le club de foot était (très) provisoirement sauvé. Le passif de plus d'un million d'euros est avéré, une partie de la structure sera mise en faillite avec tout ce que cela implique pour les fournisseurs qui ne seront pas payés. Une porte de sortie que Nyssen lui-même qualifie de "pas très élégante" ... c'est le moins que l'on puisse dire! Dans le privé, quand vous êtes proche de la faillite, vous faites tout pour que vos partenaires commerciaux soient payés afin de ne pas vous griller pour une activité future. Là, on fait le pari de dire aux partenaires privés qu'ils peuvent se foutre leurs euros en col marin et que l'on préfère payer l'état afin de conserver des équipes de foot dans les divisions nationales. Quelle belle image et quel bon signal donnés à de futurs fournisseurs!

Comme je l'ai dit, on a encore une fois joué au mécano financier en faisant 36 montages avec des organismes gravitant autour de la commune qui eux-mêmes vont créer de nouveaux organismes pour assurer la gestion du club. "Donnez-moi un problème, je vous créerais un organisme!", c'est un peu la devise du politique actuelle.

Ce qui me gêne dans ce qui transparait dans la presse, c'est qu'on a l'impression que l'on va "privatiser" les dettes du club via la société anonyme que créera la régie autonome communale et qu'ainsi on limitera la casse pour les finances publiques. Mais au bout du compte, vu que la régie communale est dépendante totalement de financements privés ou publics, tous les budgets qui seront absorbés par cet organe de gestion du club ne pourront pas être affectés à d'autres opérations. Et si un jour la Ville a besoin de financements supplémentaires, elle aura grillé une cartouche bêtement pour sauver le club de foot.

Il y a encore un point croustillant à cette histoire. C'est qu'on n'y est pas encore puisque le MR n'a accepté que sous réserves cette solution. Et parmi les réserves émises, il y a entre autres:

- un tableau de bord de l’état des lieux des dossiers de la Régie communale autonome, les investissements actuels, les recettes actuelles et futures;

- l’association de l’Opposition au Conseil communal à la décision!

Le premier point nous renvoie aux dossiers de marchés soit disant "truqués" par la Ville. Il est tout de même assez interpelant de constater que la gestion de cette RCA se passe en toute opacité vu que même les partenaires de majorité ne sont absolument pas au courant de ce qui s'y passe sur le plan des actions (demande d'un tableau de bord des dossiers et investissements), mais aussi sur le plan financier et budgétaire (demande d'un inventaire des recettes ACTUELLES et futures).

Pour le deuxième, que faut-il comprendre? Que le MR tente de rejeter la responsabilité du sauvetage du club sur l'opposition pour mieux pouvoir les accuser de ne pas avoir sauvé le club par après? Ou que, si le CdH et Ecolo votent contre le sauvetage dans ces conditions, le MR se désolidarisera du PS et se rangera du côté de l'opposition? Je me réjouis de voir comment on va réagir dans les rangs du PS à cette sortie du MR verviétois.

On dépense de l'argent pour ce que l'on veut bien !

http://www.actu24.be/article/verviers_4800_les_chomeurs_rapportent_15_000_€__a_la_ville_tant_pis_pour_eux_/403512.aspx

La maxime du fronton de l'hôtel de ville "Publicité, sauvegarde du peuple" sera, à l'occasion des travaux de restauration de l'édifice, modifiée et adaptée au nouveau goût socialiste: "Du pain et des jeux".

Mwouais, sont-ils tous demandeurs d'emploi? Parmi ces certificats, je pense aussi qu'il y a des gens qui ont un boulot et veulent en changer et qui ont besoin du document. Soit, exonérons au moins pour les demandeurs d'emploi ... Ah mais non, sinon, c'est pas bien non plus ...

Si ces gens ont du boulot, ils n'iront plus boire des bières à 3 francs 6 sous dans le haut de la rue Crapaurue pour rendre leurs euros à la main qui les nourrit.

Avec 3 francs de bière, on n'arrive pas à faire 6 saouls. Même au QG du p'tit rouge !