Les pédophiles en «hôpitaux fermés», réclame Sarkozy

Sarkozy dans Libération de ce 20 août 2007

"La peine ne suffit plus, Nicolas Sarkozy réclame la «sureté». Après
avoir rencontré le père du petit Enis, violé par un homme qui sortait
de prison pour agressions sexuelles envers des mineurs, le Président a
annoncé une série de mesures renforçant le contrôle des délinquants
sexuels: ils ne sortiront de prison qu'une fois leur peine exécutée et
après examen de leur dangerosité par un collège de médecins, ceux jugés
dangereux devant rejoindre un hôpital fermé.

Un détenu, pédophile récidiviste, comme celui qui a enlevé le petit Enis mercredi dans la région de Roubaix, «ne pourra pas sortir de prison uniquement parce qu'il a exécuté sa peine»,
a ainsi déclaré Nicolas Sarkozy lundi à la presse à l'issue d'une
conférence interministérielle consacrée au suivi des délinquants
sexuels.

«Les détenus de ce type, à la fin leur peine, seront examinés par
un collège de médecins et si ce collège des médecins reconnaît leur
dangerosité, ils ne seront pas remis en liberté, ils iront dans un
hôpital fermé où ils seront soignés, a-t-il poursuivi. Ceux
qui accepteront d'être soignés pourront avoir des permissions pour
sortir de cet hôpital mais ils le feront en portant un bracelet
électronique et en suivant un traitement. On ne peut pas laisser des
prédateurs en liberté.»



Nicolas Sarkozy s'est ainsi déclaré favorable à la «castration chimique» des pédophiles qui accepteront de se faire soigner. «Ceux qui n'accepteront pas d'être soignés resteront dans cet hôpital fermé le temps où l'on estimera qu'ils sont dangereux»,
a-t-il ajouté. Un hôpital de ce type ouvrira à Lyon en 2009, a annoncé
le chef de l'Etat, qui a précisé que ces mesures seraient intégrées à
un texte de loi prévu pour le mois de novembre sur la condition
pénitentiaire."

À vrai dire, je ne suis pas très Sarkozy, mais pour cette fois je trouve qu’il a raison, enferment des pédophiles dans un hôpital fermer pour les personnes jugées toujours dangereuses en fin de peine, les bracelets pour sortir de prison même quand ont a fait sa peine complète, s’il met correctement les choses en application alors je dis oui, mais le problème de la France ce sont ses finances qui sont carrément dans le rouge et ne vont sûrement pas s’améliorer quand on voit que la première chose qu’il a faite s’est de faire des cadeaux fiscaux au plus riche.
Autre question et que se soit la France ou la Belgique s’est pareil, pourquoi cette personne n’a fait que 18 ans de prison au lieu des 27 ans à la quel elle avait été condamnée.
Apparemment s’en seraient fini des remises de peine pour les pédophiles et là aussi il faudrait que la Belgique fasse de même.


Autre chose (info trouvée sur http://www.liberation.fr/ )
Il existe déjà un centre pour pédophiles dans la prison de Caen, celle-là même qui détenait ce pédophile, dont 75 % des prisonniers ont été condamnés pour crimes sexuels. Un centre médico-psychologique y a été ouvert il y a quatre ans, mais ne fonctionne plus que partiellement «faute de moyens», selon le syndicat pénitentiaire Unsa-Ufap.

Alors question, Sarkozy calme t'il les gens en urgence ou bien va-t-il vraiment mettre ses idées en application ?

Nicolas Sarkozy proclame aimer l'action: Il répète à l'envi qu'elle est toute sa vie. Aussi il court Sarkozy, il frémit d'impatience.
Quant au but, c'est autre chose! Ses réponses alternatives ne servent qu'à décharger l'excitation et soulager l'angoisse publique.
Ce n'est pas de l'action véritable qu'il s'agit, mais simplement de l'agitation.
C'est l'insupportable part d'ombre au coeur de Nicolas Sarkozy lui-même, c'est sa propre négaticité qu'il lui faut nier, réprimer, expulser, chastériser hors de l'espace.
C'est à l'exact opposé qu'il aspire.
Il songe à défendre le viol de l'enfant...?
Il ignore tout de la pédophilie et il s'en fou! Totalement.
Deux et deux ne font pas cinq. Les pédo's sont des individus TRES dangereux. La castration chimique ne servira à rien.
L'ablatation pure et simple pour ces détraqués. OUI
Ces pédo's pourront dès lors utiliser leur brillante vocalise sur les lutrins des prisons.